mercredi, août 31, 2005
La littérature pour les nuls
Alors que j’arpentais le jardin, balayant les moustiques d’un revers de la main, je ressentis le besoin impérieux de goûter les charmes d’une baignade. Des gouttes de sueur perlaient sur mon front ! Mon frère me rejoignant, il lançât un défi qui pris la forme d’une cavalcade marine effrénée. Je ne pouvais lui céder mon titre, chèrement acquis la veille.
Mais il apparaissait aujourd’hui à l’apogée de sa forme. Le doute s’insinuait dans mon esprit, jusqu’au méandres de ma pensée. Serais-je à nouveau auréolé de gloire ? Je craignais d’être livré en pâture à sa morgue. Redoublant d’efforts, j’arrachais finalement une victoire conquise de haute lutte.
Regagnant le rivage, j’aperçus une jeune fille à la blancheur virginale. Elle effleurât sa main d’un baiser en direction de mon frère. Saisis par les affres de la jalousie, je réalisais que je ne pourrais jamais livrer bataille sur certains terrains. La victoire est un maigre butin lorsqu’on enfile que des clichés !
Mais il apparaissait aujourd’hui à l’apogée de sa forme. Le doute s’insinuait dans mon esprit, jusqu’au méandres de ma pensée. Serais-je à nouveau auréolé de gloire ? Je craignais d’être livré en pâture à sa morgue. Redoublant d’efforts, j’arrachais finalement une victoire conquise de haute lutte.
Regagnant le rivage, j’aperçus une jeune fille à la blancheur virginale. Elle effleurât sa main d’un baiser en direction de mon frère. Saisis par les affres de la jalousie, je réalisais que je ne pourrais jamais livrer bataille sur certains terrains. La victoire est un maigre butin lorsqu’on enfile que des clichés !