vendredi, novembre 11, 2005
Pollution nocture
Après une nuit agitée de poker, j'ai rêvé d'un autre monde. Me rendant dans la maison de S. suite à son invitation, je lisais tranquillement au salon alors que tout le monde était couché. Arrive alors X. en déshabillé sulfureux, qui accompagne sa bise d'un "je ne t'avais pas souhaité une bonne nuit". Son visage est presque agréable et son corps relativement ferme : le repas a du être arrosé.
Devant un équivoque si mince je suis tenté de la rejoindre. Mais même en rêve ma conscience me bride ; tandis que ce diablotin de JC murmure "une chatte c'est une chatte", je m'interroge : cette relation que je souhaite pour un soir, ma partenaire ne risque-t-elle pas de vouloir la prolonger ? Si je refuse ensuite je cours au scandale : tout sera dévoilé à la promo et les quolibets fuseront.
S. : J'avais mis dans le mille en répartissant les chambres dans mes premiers dessins.
A. : Vu le genre de fille qui te plait tu comprends que ça ne puisse pas marcher entre nous.
JC : Alors, heureux ?
G : Si j'avais su... Je garde toujours le n° d'une fille sous LSD dans mon portable pour les copains en détresse.
L. : On te retrouve dans tous les extrêmes...
C. : Tu comptes lui faire un enfant avant ses 27 ans ?
MÊME LA NUIT JE RATE DES COUPS FACILES A CAUSE DE VOUS.